par Hélène Cavaillé Assise je croyais ne jamais pouvoir me relever. Pourtant, une fois debout, je trouvais largement la force de marcher. J’étais vide, je ne pensais à rien, il n’y avait pas d’effort à fournir, le chemin se déroulait comme un tapis sous mes pieds. On longea une partie du désert puis on traversa … Continua a leggere